
Moving images, virtual reality, posters and 3D prints
April 2025 (ongoing)
↓ version francaise ↓
Mondovision is a satire of modernity and World Expositions. The term — once used to describe the global broadcast of television images — now feels outdated in the age of social media and alternative realities. It evokes a utopia: the idea of a world united around grand events, a notion that still lingers in spectacles like the 2024 Paris Olympics.
It struck me as a fitting title for this satirical take on World Expos — in parallel with Expo 2025 in Osaka. The story unfolds in a futuristic Paris, seen through the eyes of an American tourist family, in the spirit of Playtime by Jacques Tati.
In this imagined future, the exhibition is entirely run by robots. The pavilions uphold both modern and national myths, while pyrotechnic displays light up an upgraded Eiffel Tower. It’s so much easier to marvel at these technological feats than to confront our visceral fears — like those of this tourist family, who maintain a troubling and abusive relationship with the robots. Who is using whom in this story?
The narrative weaves together the amused reflections of a die-hard Expo-goer (since Shanghai 2010), the ethical musings of an engineer, and ordinary moments from life in Paris.
It is at once a science fiction fable, a personal diary, a collection of videos, virtual spaces, and real-world objects — all assembled using the latest AI technologies.
– technical stack –
Blender, Gravity sketch, Polycam
SORA 3D, InstantMesh
Immersions library
Runway, Flux and Llava, Sora, Tensorpix
Loudly, Musicgen
Elevenlabs, Inshot
Mondovision est une satire de la modernité et des Expositions universelles. Le terme — qui désignait autrefois la transmission planétaire d’images de télévision — paraît aujourd’hui désuet, à l’ère des réseaux sociaux et des réalités alternatives. Il évoque une utopie : celle d’un monde réuni autour de grands événements, une idée qui subsiste encore dans des spectacles comme les Jeux olympiques de Paris 2024.
Il m’a semblé que c’était un titre parfaitement adapté pour cette relecture satirique des Expositions — en parallèle avec l’Expo 2025 d’Osaka. L’histoire se déroule dans un Paris futuriste, vu à travers les yeux d’une famille de touristes américains, dans l’esprit de Playtime de Jacques Tati.
Dans ce futur imaginaire, l’exposition est entièrement régie par des robots. Les pavillons perpétuent les mythes modernes et nationaux, et des spectacles pyrotechniques illuminent une Tour Eiffel “upgradée”. Qu’il est plus facile de s’émerveiller devant ces prouesses technologiques que d’affronter nos peurs viscérales — comme celles de cette famille de touristes, qui entretient une relation abusive et troublante avec les robots. Qui utilise qui, dans cette histoire ?
Le récit mêle les réflexions amusées d’un inconditionnel des Expos (depuis Shanghai 2010), les interrogations éthiques d’un ingénieur, et les moments ordinaires d’une vie parisienne.
C’est à la fois une fable de science-fiction, un journal intime, une collection de vidéos, d’espaces virtuels et d’objets réels — tous assemblés grâce aux dernières technologies de l’IA.
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